Il était temps, c’est le cas de le dire ! Je suis enfin allée voir les expositions à la chapelle de l’Hôpital général et au centre Camille Claudel, dans le cadre de ce festival qui se termine le 26 octobre.
L’association Sténopé, qui s’occupe du festival Nicéphore, a créé cette série d’expositions afin de mettre en lumière les artistes régionaux. Je n’ai pas fait le déplacement jusque dans les trois autres lieux d’exposition, me cantonnant, comme d’hab, à l’hyper-centre où peuvent me mener mes pieds.
A la chapelle de l’Hôpital général, j’ai beaucoup aimé les photographies de Sandrine Comès, exclusivement consacrées au train, avec l’interview de Georges Bollon, cofondateur du festival du court-métrage et marqué par un passé où les trains et les cheminots faisaient partie de son paysage.


Au centre Camille Claudel, j’ai retrouvé quelques œuvres de Denis Pourcher, un photographe qui travaille aussi beaucoup pour le tourisme donc son nom est loin de m’être inconnu. Et j’ai surtout découvert le travail de Guillaume Chaplot, avec ses « paysages en mouvement ». J’ai beaucoup aimé cette sensation du temps qui passe, avec ces lumières crépusculaires, comme des aperçus trop rapide de notre quotidien.

