(7) « Gravity Hill Newsreel n°1 ». Des manifestants d’Occupy Wall Street. Voilà. Rien de plus que ce qu’on avait déjà vu aux informations télévisées.
(6) « Light is calling ». Court déjà vu lors de la cérémonie d’ouverture. Même si le travail est sûrement remarquable sur une pellicule de 1926, il n’empêche que le résultat est pénible visuellement et auditivement.
(2) « The second line ». Après le passage de Katrina à la Nouvelle Orléans, la population vit dans des caravanes à côté des maisons dévastées. Deux jeunes blacks se font payer pour vider et détruire les maisons de particuliers. Entre populations sinistrées, les relations sont tendues. Alors que tout le monde est dans la merde, il s’en trouve toujours pour exploiter et berner les plus nécessiteux. Cette histoire, c’est comment un type ordinaire, plutôt honnête, se retrouve à faire une grosse connerie.
(2) « RIP rich ». Un court très court, avec des jeunes qui font du break dance dans la rue et sous la pluie. Plutôt réjouissant et trop court.
(5) « The giant ». Charlotte revient parmi ses amis après des mois d’absence. Je ne vais pas spoiler la fin mais euh… bref. Je n’ai pas tout compris.
(4) « Feral ». Une animation sur un enfant-loup, incapable de s’adapter à la civilisation. Thème rebattu et animation pas à mon goût.
(3) « Path lights ». Un type manque de recevoir une bouteille de bière sur la tête alors qu’il promène son chien. La bière en question étant plutôt rare, il décide de mener l’enquête jusqu’à retrouver le coupable. La coupable.
Au final une série décevante. J’ai beaucoup piqué du nez, peut-être la faute à la digestion du cheese cake de l’Australian Coffee House.
[Notez et commentez les courts que vous avez vus sur http://court.360emedia.fr/ !! Un mini site adapté au mobile et réalisé en quelques petites heures par Jean-David. Merci à lui et spread the word!]
The magic orange plastic bird said... 