Il a été membre du jury du festival international du court-métrage de Clermont-Ferrand il y a quelques années et a gardé des liens avec l’équipe organisatrice (comme beaucoup d’autres artistes invités, car c’est une grande famille), c’est donc assez naturellement que Cascadeur est venu travailler pendant trois jours entre les murs du nouveau pôle imagO de Cébazat, afin de nous présenter quelques titres de son prochain album, qui sortira en mars. Pour cet événement exceptionnel, il fallait un lieu d’exception et c’est le hall du musée d’art Roger-Quilliot et sa splendide verrière qui a été choisi. Une verrière moderne dans un bâtiment ancien, une musique électro-pop planante pour enrober les collections historiques du musée… un savoureux mélange des genres comme je les affectionne particulièrement.
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Au cours de cette soirée, Cascadeur nous a présenté quelques nouveaux morceaux, donc, mais aussi des titres de ses deux précédents albums, dont Into the wild ou Walker, qu’il a fait fredonner au public massé dans le couloir, aux balcons des différents étages, assis à côté de la scène ou sagement sur les quelques chaises mises à disposition. Il nous a révélé (il est super méga bavard et n’arrête pas de faire des blagues) quelques secrets de son prochain album, et notamment l’importance de l’image. D’ailleurs, ce concert a fait l’objet d’une captation, et je me demande bien comment les images vont être exploitées ! Je vais surveiller tout ça de près ! En attendant, voici les miennes, en souvenir de cette belle soirée, et une vidéo glanée sur Youtube, où il chante Into the wild et Walker.
The magic orange plastic bird said... 